Ce 2ème BRM en vue de la qualification vers le PBP 2015 débute, comme le 1er , avec un départ « Delgado » consécutif à une envie de dormir quelques minutes supplémentaires. Promis, craché, juré…la prochaine fois je serais dans les « starting-blocks on time ». Néanmoins ce départ à 5h30, en ce samedi 11 avril, me permet de rouler seul, jusqu’à Maule, avec le son matinal des premiers gazouillements. Après cette localité, j’entame une longue montée, digne de celle chérie des 17 Tournants, où à quelques encablures du sommet un crématorium « Fier comme Artaban » vous attend . Est-ce que l’expression cycliste « Ramasser les morts » a pris naissance dans cette montée ? Je ne peux pas l’affirmer, lors de cette sortie matinale, avec moins de 2h de sommeil ! La suite des réjouissances me conduit jusqu’en Beauce où le Dieu Éole a donné une nouvelle fois RDV à tous les randonneurs. Ce « vent fou » me conduit à perdre mon chemin avant le premier pointage de Sours ! Ce « lieu de villégiature pour malentendants » n’est pas le mieux loti commercialement parlant puisque seule une boulangerie assurera l’ensemble des pointages ! Cette situation constituera néanmoins un double avantage pour la boulangère. Premièrement, un choix entre plus de 100 « tentateurs » en moins de 2h et deuxièmement, la réalisation de son meilleur CA depuis le passage de la Division Leclerc.
Étiquette : Beauce
La Randonnée – One Day « Versailles-Richelieu »
« Il n’y a pas de plus beaux défis que ceux que l’on se lance à soi-même »
Rando sportive réalisée en moins de 16h sur une seule journée (30 mai 2014).
Route légendaire du 17ème siècle entre 2 villes, Versailles (78) et Richelieu (37), liées au pouvoir ecclésiastique et monarchique en place.
Un défi sportif de près de 350 km (1962 m d+).
De la célèbre place d’Armes, face au château du Roi Soleil, au porche d’entrée du Château disparu construit par le Cardinal de Richelieu.
Une rando-sportive au cœur de la France profonde et bucolique : de la vallée de Chévreuse, en passant par la Beauce et les crus du Vouvray, jusqu’au plus beau village de l’univers (dixit Jean de La Fontaine)